Le Shinigami qui combat Ishida, amusé par l’usage d’armes de jet fait par Inoue et Ishida, décide de montrer la véritable forme de son Zanpakuto : Tsunzakigarasu, qui rassemble à chaque fois qu’il dégaine des lames courbes qui volent vers ses adversaires. On peut néanmoins conclure, sans trop de risques, qu’un nombre relativement restreint de prisonniers de la Wehrmacht internés en France en 1945 et 1946 a fait le choix de rejoindre les rangs de la Légion étrangère et de combattre sous le drapeau français : au maximum 30 000 – mais plus vraisemblablement 10 à 20 000 -, chiffres que l’on se doit de rapporter à un effectif total de plusieurs centaines de milliers d’anciens soldats.